Genève a dépassé le cap des 120000 frontaliers et aussi le record des exilés des anciens pays de l'est, cette triste nouvelle n'est pas sans de graves conséquences.
Si les 120000 envahisseurs rentrent le soir dans leur pays ou la vie est moins onéreuse, rusé le frontalier c'est pomper le maximum de fric a la Suisse et ne rien dépenser tel n'est pas le cas des ex des satellites soviétique qui zonent dans notre ville et en Suisse en général vivant de notre assistance et se faisant soigner dans nos hôpitaux (allez a l'hôpital de Genève pour le constater) ces espèces de plombiers polonais sans grands diplômes préfèrent le commerce!!! et la plus part finissent dans nos prisons 5 étoiles (82% de la population carcérale arrivent de ces pays)
Le cout pour le contribuable est de 1200frs par jour, sympa ces ex de l'est.
Beaucoup ont sautés de joies a la démolition du mur de Berlin et aujourd'hui ils pleurent et pleureront encore plus avec l'invasion des réfugiés qui comme eux ne peuvent et ne pourront jamais s'adapter a notre démocratie.
Que faire, la simplicité serait de fermer nos frontières mais ça l'Europe le refuse elle a des chômeurs a placés et pourtant il faudra bien réagir en imposant des quotas et en réduisant cette population frontalière et étrangère de moitié.
La Suisse n'a pas d'ordre a recevoir des technocrates de l'Europe, une Europe qui s'enfonce et croulera par le poids des migrations et de ces contradictions.
AI Président
pourquoi préfèrent-ils la Suisse et non la France, pas si con ces bolchévistes
RépondreSupprimerRené carouge