L'Europe prend des mesures contre la Suisse suite au vote sur l'immigration et bloque le programme Erasmus sur l'échange d'étudiants, la France en rajoute une couche Hollande et son ami Moscovici lance des menaces ils oublient les plus de 300000 frontaliers qui passent la frontère tous les jours.
Pendant ce temps a Genève nos amis frontaliers toujours plus nombreux placent dans nos écoles leurs enfants (3000) handicapant grandement notre jeunesse qui peine a trouver une place d'apprentissage ou un premier emploi.
La question est simple qui paye l'état français ou le contribuable Genevois ?
Un nouveau chomeur Suisse licencié et remplacé par un frontalier coute combien au contribuable ?
Ces entreprises toutes irresponsables et cupides sont elles sérieusement controlées ?
L'énorme problème rencontré par les employés Suisse face a une concurrence frontalière déloyale qui doivent travailler dans la peur est-elle mesurée par la population ?
Tous les jours des cadres Suisse sont remplacés par des frontaliers car c'est fini les postes subalternes ils veulent le pouvoir aidé par un François Longchamp très pro français.
Alors déclarer que nous avons besoin d'eux est un mensonge car le désastre social pour les locaux est indigne, au vu de l'essor de Genève il ne devrait avoir aucun chomeurs.
Quand nous serons a zéro chomage alors oui nous pouvons faire venir des frontaliers.
Si nous formons des étudiants frontaliers cela veut dire que nos écoles sont bonnes alors l'excuse pas trouvé en Suisse est inadmissible, la France moins stupide refuserait une si grande invasion.
Leurs nuisances dans nos entreprises aura des conséquences graves car un RH frontalier favorisera toujours un compatriote au détriment des Suisses.
AI Président
Pendant ce temps a Genève nos amis frontaliers toujours plus nombreux placent dans nos écoles leurs enfants (3000) handicapant grandement notre jeunesse qui peine a trouver une place d'apprentissage ou un premier emploi.
La question est simple qui paye l'état français ou le contribuable Genevois ?
Un nouveau chomeur Suisse licencié et remplacé par un frontalier coute combien au contribuable ?
Ces entreprises toutes irresponsables et cupides sont elles sérieusement controlées ?
L'énorme problème rencontré par les employés Suisse face a une concurrence frontalière déloyale qui doivent travailler dans la peur est-elle mesurée par la population ?
Tous les jours des cadres Suisse sont remplacés par des frontaliers car c'est fini les postes subalternes ils veulent le pouvoir aidé par un François Longchamp très pro français.
Alors déclarer que nous avons besoin d'eux est un mensonge car le désastre social pour les locaux est indigne, au vu de l'essor de Genève il ne devrait avoir aucun chomeurs.
Quand nous serons a zéro chomage alors oui nous pouvons faire venir des frontaliers.
Si nous formons des étudiants frontaliers cela veut dire que nos écoles sont bonnes alors l'excuse pas trouvé en Suisse est inadmissible, la France moins stupide refuserait une si grande invasion.
Leurs nuisances dans nos entreprises aura des conséquences graves car un RH frontalier favorisera toujours un compatriote au détriment des Suisses.
AI Président
bravo AI Président, nous sommes nombreux a ne plus supporter cette arrogante invasion et a devoir subir leurs lois
RépondreSupprimerBasta il faut faire le ménage trop c'est trop, ces espèces de petits rois doivent comprendre qu'ils sont en SUISSE et a bien plaire.
Si pas content retour en Hollandie
les confédérés qui votent pour AI
a ma connaissance cette semaine 4 cadres licenciés et 11 employés locaux eux aussi licenciés tous par des RH frontaliers et remplacés par des frontaliers se n'est plus une invasion mais une annexion de Genève avec la bénédiction de François Longchamp
RépondreSupprimerun suisse révolté
le cancer des Genevois c'est les frontaliers cessons de nous voiler la face ils sont trop nombreux j'ai dans ma boite a lettres mon licenciement surprise je suis remplacé par un frontalier de Normandie son salaire 1459 frs de moins, mon syndicat se fiche de moi.
RépondreSupprimerAlors Longchamp tu fais rien pendant ta campagne tu disais je suis a l'écoute alors tu trouves normal de virer un Suisse pour se faire remplacer par un frontalier.
Je hais le frontaliers et Longchamp manque de poil au cul de plus c'est un menteur
Rémy 53 ans chomeur sans espoir
les loups sont entrés dans Genève et ils ont faim pour cela ils utilisent les RH frontaliers qui aiment se nourrir sur la peau des Suisses.
RépondreSupprimerQuand donc notre super grand président Longchamp ouvrira t-il les yeux ou dira t-il la vérité les frontaliers jettent des Suisses pour placer leurs amis, OUI les frontaliers sont une plaie pour notre avenir les 15000 chomeurs de Genève le savent, OUI nous devons controler les licenciements pour savoir par qui ils sont remplacés dans le cas de frontaliers nous devons refuser son entrée et sanctionner lourdement l'entreprise.
Ne remplacer pas remplacer les frontaliers retraités afin de rétablir un nombre juste a savoir 35000 pas plus, meme si l'Europe menace ou ces arrogants maires frontaliers qui critiqueront qu'ils s'occupe de leur pays, nous devons défendre nos emplois et pas défendre la France et ces chomeurs
Bastien et ces amis Genève
se sont des panders divisions avec plaques 01, 73, 74 qui entrent a Genève, la menace est dans nos murs et les 15000 chomeurs le savent et grace a François Longchamp ils seront encore plus nombreux l'homme qui se fiche pas mal des Genevois veut son grand Genève.
RépondreSupprimerNous avons été bernés la prochaine fois il faudra le renvoyer chez ces amis frontaliers.
Jules et Robert
le piège c'est refermé les frontaliers occupent Genève pas une entreprise sans eux ils occupent des postes a responsabilités et a ce titre ils licencient tout ce qu'ils peuvent pour placer des frontaliers.
RépondreSupprimerQue fait notre gouvernement rien car il est a la solde des entrepreneurs.
Les pertes salariales sont évaluées a plus de 40% pour les locaux en effet a l'image de cet ex directeur gagnant 125000 fr. licencié par un français après des mois de chomage il a trouvé un bon job pour un salaire de 89000fr les cas de ce genres sont nombreux mais nié par nos politiques.
STOP au FRONTALIERS ils sont trop nombreux et les dégâts sociaux sont immenses.
Tout cela finira mal un de ces jours, le bon peuple genevois descendra dans la rue pour manifester sa colère et repousser cette invasion
les 1602
faites votre boulot Monsieur Longchamp osez voir les dégâts dans les entreprises par les frontaliers cessez de mentir vous devez créer une commission de control sur les licenciements des locaux remplacés par des frontaliers et interdire les autorisations faites a ces entreprises.
RépondreSupprimerMettre au chomage des locaux pour faire travailler des frontaliers est un scandale et vous etes responsable de ce climat.
Défendre les locaux est votre devoir et agir votre responsabilité.
Tous les locaux compte sur vous mettre fin a cette concurrence déloyale tous les jours il y a des licenciements sous de faux motifs et vous restez sourd et aveugle a ce phénomène.
un groupe de chomeurs
sous divers prétextes les entreprises Suisses engagent des cadres formés soit disant dans des écoles de commerces françaises une fois nommés leurs buts et de licenciés les cadres Suisses pour engager leurs copains d'école sans rien connaitre des us et coutumes tous ces beaux parleurs font illusions et mettent en danger l'entreprise et l'emploi en Suisse.
RépondreSupprimerDiverses entreprises ont déjà fermés leurs portes ou se sont trouvés en difficultés, soit notre patronat et nos politiques sont stupides ou se laissent endormir par ces beaux parleurs sans scrupules.
Si ils étaient si bon les entreprises françaises feraient tout pour les garder ce qui n'est pas le cas.
nos banques en font la triste expérience ces gens sont prêt a tout pour faire de l'argent meme a vendre des renseignements au fisc français.
Réveillions nous et mettons fin a la filière frontalière il y va de notre avenir
Ex. chef d'atelier licencié par un roitelet français MERCI AI
très bonne analyse cher AI Président, l'ampleur des licenciements chez les cadres par des frontaliers est plus grave de jours en jours les statistiques du chomage sont alarmantes et de cela les syndicats n'en parle pas.
RépondreSupprimerVous avez raison il faut créer une commission qui déterminera les causes de ces licenciements et dans le cas ou une entreprise engage un frontalier elle devra le justifier.
Tous ces cadres n'ont aucune chance de retrouver un emploi ou dans des conditions scandaleuses.
Ceci n'a rien a voir le vote de février mais simplement du bon sens, notre économie a besoin de frontaliers mais dans une proportion raisonnablevois
Pensons a notre jeunesse au plus de 50 ans voila le travail de Mauro Poggia et de François Longchamp tous responsables de la qualité de vie des Genevois, chose promise pendant leur campagne électorale
Sylvain B. cadre a l'avenir incertain vu l'arrivée d'un frontalier au dents longues
cher Sylvain, idem dans notre entreprise la venue d'un HEC français d'une arrogance et d'un mépris des Suisses a généré 3 licenciements chez les cadres tous remplacés par ces potes d'HEC encore plus arrogants que lui.
SupprimerNous avons avisés notre syndicat qui n'a strictement rien fait et encore moins écouté, merci UNIA le syndicat pro frontaliers.
un des cadres
ils sont plus malins que nous, plus arrivistes, plus opportunistes ils arrivent a embobiner n'importe qui avec des promesses irréalistes et surtout ne connaissent rien a la Suisse et souvent passent auprès des clients tant ils sont prétentieux voir inquisiteur.
SupprimerIl est exact qu'ils n'ont comme but c'est de placer les leurs et ceci très rapidement sans aucune gène, ils sont toujours prêt a écraser les autres pour se faire voir et sa marche.
Il y a aucune entreprises Genevoise qui n'a pas son lot de frontaliers voir souvent ils sont majoritaires et la, pauvres Suisses l'enfer commence
Bertrand cadre en sursis
cher AI se n'est pas une occupation mais Genève est devenue française et bientôt nous aurons un passeport a l'effigie de François Hollande.
RépondreSupprimerCeci grace en partie a notre Président François Longchamp
Lucas
c'est aussi Genève désoccupé avec l'invasion frontalière (15000 chomeurs) mais la cerise sur le gateau depuis qu'ils sont petits chefs c'est l'augmentation des chomeurs Genevois car ils ont tout compris, ils se mettent a virer les Suisses et placer les leurs et bientôt le patronat se fera piéger car ils vont imposer leurs idées et poser leurs conditions
RépondreSupprimerle club
ras le bol de tous ces profiteurs frontaliers nous devons les raccompagner a la frontière de gré ou de force et garder seulement 30000 et encore c'est trop
RépondreSupprimerjulien versoix
des frontaliers oui mais des vrais pas ceux venus de toute la France avec leurs arrogances et qui pratiquent le dumping pour gagner 3 fois le smic.
RépondreSupprimerNous devons remettre la clause du besoin a savoir 1 frontalier pour 5 locaux il y va de notre avenir.
Que le petit hollande s'occupe des siens lui qui déclarait moi président, moi président etc...qu'il cesse de prendre la Suisse pour un département français et qu'il garde ces chomeurs
les jeudistes
la grande invasion c'était de la rigolade les frontaliers sont plus dangereux car ils occupent des postes clef et peuvent licencier qui ils veulent de préférence des Suisses pour placer leurs copains et je sais de quoi je parle j'ai été viré par un RH frontalier prétentieux comme tous les frontaliers
RépondreSupprimerLucien Meyrin
ma parole ils doivent se reproduire ces branleurs a bientôt 200000 les frontaliers finirons mongoliens a force de rester entre eux
RépondreSupprimerBabs
ils envahissent tout y compris mon jardin pour me voler mes fruits et légumes.
RépondreSupprimerPrit sur le fait il me déclare que le jardin est ouvert et que rien indique une propriété privée vraiment des sales types ces frontaliers
Alberto Genthod
leurs place ramasser nos ordures et cirer nos godasses et si pas content ils peuvent
RépondreSupprimerretourner chez leur copain Hollande
Marcel
pire que la panzer division faudra t-il faire venir l'armée américaine pour les chasser de Genève et les repousser chez eux en France pays qu'ils n'auraient jamais du quitter
RépondreSupprimerAnatole Chambesy
combien de frontaliers ne rentrent pas le soir et occupent des logements a plusieurs sans réactions de nos autorités, encore et toujours des illégalités vraiment des magouilleurs ces frontaliers.
RépondreSupprimerQue fait notre police si de nombreux citoyens le voient eux ne constatent rien ou ne veulent rien voir
Un locataire de Carouge outré de ce laxisme