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jeudi 5 novembre 2020

nous sommes cernés

la Suisse gravement touchée par le virus et la situation est catastrophique a Genève malgré les mesures mais nos autorités laissent plus de 120000 frontaliers pénétrer dans la ville alors que le virus touche tous les départements qui touchent Genève. Le minimum serait de fermer les petites frontières afin de procéder a des tests a la frontière ou mieux fermer la frontière aux français. Le problème c'est le piège d'avoir donné trop d'autorisations et aujourd'hui ils monopolisent nos entreprises et nos hopitaux ( plus de 6000 infirmières ) cela rend notre ville vulnérable. Au nom de l'argent nous sommes les otages des français qui profitent de cette incurie. Le virus va générer une grave crise pour de nombreuses années avec sa cohorte de chômage et de précarité. Nous devons être sur nos gardes afin de protéger les notres et veiller que les licenciements ne se fassent pas sur le dos des résidents Genevois. Votre A-I

8 commentaires:

  1. pas un piège une invasion et les licenciements ont déja commencé pour cela il suffit de voir les queues aux offices de placements

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  2. en plus du virus notre voisin a la grippe aviaire avec ces élevages de poules et lä encore nous ne faisons rien eux non plus vu la déconfiture de ce pays

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  3. terrasses bondées, clients sans masques, bar ouverts malgré l'ordre des préfets et sous le nez des gendarmes ( stores baissés mais plein de clients ) et tous ces fêtards entrent tous les jours a Genève et la douane Suisse laisse faire, les frontaliers et le civisme !!!

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  4. dans une entreprise genevoise nos amis frontaliers demandent que l'entreprise offre des masques, l'entreprise accorde deux masques par jour pour tous ces collaborateurs mais le soir tous les masques ont été pillés par les frontaliers pour leur famille moralité il n'y a plus de masques, toujours le sans gène et les combines pour profiter, c'est dans les gènes des français de profiter

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  5. 10 ans d'entreprise pour moi et 12 pour mon collègue genevois d'origine, nous avons notre congé pour la fin d'année mais les frontaliers restent il faut dire que le chef d'équipe est français et notre syndicat ne fait rien.
    Jean Marc et Bernard

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  6. vu que se sont des vrais brasseurs d'air ces frontaliers il est logique que le virus se propage

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  7. même le masque ils ne savent pas mettre, sous le nez et par économie ils ne le changent pas,

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  8. malgré les restrictions je me demande si nous sommes a Genève vu le nombre de voitures française

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