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jeudi 30 avril 2020

l'avenir des frontaliers

avec le déconfinement va arriver la déconfiture de nombreuses entreprises, selon les prévisions 20% d'emplois seront rayés avec une sévère augmentation du chômage, les faillites estimées elle aussi a 20 % ne favorisera pas notre économie. Des mesures doivent être prises pour éviter la débacle notre état n'a pas de solution miracle. Dès les premier licenciements il s'agira de vérifier que les entreprises ne profitent pas de licencier des locaux et garder les frontaliers, situation complexe pour Genève qui a laissé faire l'arrivée massive de ces frontaliers au détriment des résidents. Ces 20 % de futur chômeurs doivent tous être frontaliers leurs statut est a bien plaire et cela évitera des émeutes légitime du peuple Genevois et Suisse. A l'avenir cette situation doit donner lieu a une refonte de notre économie qui ne doit plus être tributaire des frontaliers comme a l'hôpital ou nous avons cédé au chantage de la France. Nos entreprises ne doivent pas dépasser le taux de 25 % de frontaliers et vu que nombreuses entreprises ne sont a Genève que pour des question fiscales et génèrent cet afflux sans rien apporter aux genevois. Genève doit redevenir une ville ou il fait bon vivre et mettre fin a cette fuite en avant, la population ne doit pas dépasser les 400000 habitants avec un maximum de 20000 frontaliers. Construire des bureaux qui restent vide, des entreprises avec plus de 95 % de frontaliers cette politique là doit cesser il y va de notre avenir.

8 commentaires:

  1. restaurations, bars, cafés, hôtels, partout des frontaliers mais ces commerces devront licencier, et hop tous a pole emplois

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  2. nous avons trop tardé a renvoyer les frontaliers
    Denis

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  3. cher Denis, vous avez raison il y a longtemps que nos autorités auraient du prendre des dispositions pour limiter ces arrivées massives de frontaliers qui ont destabilisés notre tissu économique avec pour conséquence un chômage de plus de 5% a Genève et des difficultés pour nos jeunes

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  4. la création d'une véritable école d'infirmières est indispensable afin de diminuer le dictat des frontaliers dans nos hôpitaux et le chantage de M. Macron, 7000 frontaliers dans les services de l'état doit cesser tous doivent être remplacé par des locaux cette situation est un scandale aucun pays n'engage des frontaliers

    Batiste Valais

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  5. plus de 300000 français passent la frontière pour aider nos entreprises ou pour la paye, nous avons 25% de suisses qui vivent avec moins de 3000frs par mois, c'est le principe de l'offre et de la demande, ces 300000 frontaliers ont grandement contribués a la pauvreté en Suisse, profitons de la situation pour mettre de l'ordre et cela passe par des licenciements massif de ces frontaliers et cela ils doivent le comprendre, priorité aux suisses.

    Robert du clan

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  6. dès les premiers licenciements il faudra surveiller si des locaux ont été sacrifier au profit de français, si c'est le cas les entreprises devront être exclue du plan de relance et rembourser l'état en plus d'être dénoncées a la justice, la presse devra publier les noms

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  7. besoin des frontaliers, vous rigolez Genève peut se passer sans problème de ces pseudo frontaliers, qui en plus travaillent mal la seule chose qu'ils savent faire c'est revendiquer, alors qu'ils revendiquent en France
    Cully Sébastien

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  8. cela se confirme il y aura bien 20% de chômage en Suisse, et toujours 100000 frontaliers a Genève, déjà les premières lettres de licenciement se préparent, attendons pour voir qui sera licencier avant de descendre dans la rue !!!! et les chômeurs locaux qui bloquent les frontières, tous les éléments pour des émeutes sont en place

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