dimanche 8 septembre 2019
frontaliers et les voitures de services
Un conseil aux patrons genevois qui donnent des voitures de services a leurs employés frontaliers, contrôlez vos fourgonnettes et faites un inventaire vous serez sidérés de voir que chaque jours aux frontières vos employés font du troc, un lavabo contre des prises, du carrelage contre un meuble ou un petit coup de syphon pour prélever du carburant, quand c'est pas un chantier dévalisé par ces gentils collaborateurs.
Des rénovation sont ainsi faites avec tous ce matériel emprunté aux entreprises.
Les douanes aussi doivent contrôler le retour des frontaliers et vérifier les coffres.
Visitez les villas frontalières misent en vente, vous serez sidérés de voir les installations faites avec des produits Suisse.
Alors continuons a engager ces frontaliers et fermons les yeux Genève a besoin de cette main d'œuvre selon nos politiciens
AI votre président
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Albert J. chef d'entreprise,
RépondreSupprimerj'ai subi ces petits vols a répétition pour un montant estimé a 20000 frs, pour pouvoir perquisitionné la maison de ce frontalier il fallait l'autorisation du préfet qui a été refusée avec le motif qu'il ne fallait pas nuire a sa famille !!!
Oui AI vous avez raison ces vols sont un fléau pour les entreprises.
Plus jamais d'engagement de ressortissants
de la Macronie
il utilisait le véhicule de service pour faire ces courses de motos heureusement un P.V pour vitesse non adaptée a précipité son licenciement malgré ces négations.
RépondreSupprimerprofiter c'est bien la mentalité des frontaliers.
moralité plus de français dans l'entreprise
Werner patron d'une P.M.E
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimeraprès une semaine de travail en Suisse nos amis frontaliers bricoles le samedi chez leurs amis, ils arrivent avec le véhicule de service et se mettent a faire des installations avec le matériel prit dans le fourgon de l'entreprise tout bénéfice pour lui et perte pour l'entreprise, astucieux non du vol
RépondreSupprimerBertrand
les rois de la magouille, a ma surprise mon employé au bénéfice d'un arrêt maladie était sur un échafaudage pour repeindre la façade d'une villa avec mes bidons de peinture et notre échafaudage, après son licenciement le rusé a tenter de réclamer de l'argent, heureusement la justice a débouté ce gentil frontalier.
RépondreSupprimerMerci AI pour vos articles
Patrice chef d'entreprise
cher Macron, il ne faut pas traverser la rue pour avoir du travail mais venir en Suisse ils sont 320000 a avoir compris ou plutôt a avoir fait une invasion vu que tu n'es pas capable a fournir du boulot a tes assistés
RépondreSupprimerGolfe- Juan, sur la parc de l'hôtel deux voitures plaques genevoise avec le logo de l'entreprise, le soir deux couples de frontaliers étaient heureux d'emprunter les voitures de services, et commentaient comment faire pour ne pas faire le relever des kilomêtres, astucieux ces frontaliers ou simplement des profiteurs.
RépondreSupprimerMacron président des magouilleurs
la honte n'est pas un sentiment français, la spécialité c'est de toujours réclamer a l'image des gilets jaunes et sa marche.
RépondreSupprimerregardez dans nos entreprises ils ont toutes les combines pour ne rien payer ou profiter comme soutirer le carburant des véhicules de services
le top ils arrivent a voler les ordinateurs des entreprises et les remplacer par de vieux ordi, malin le frontalier non simplement un voleur
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