147000 frontaliers trouvez vous cela normal dans une ville qui est incapable de juguler son chômage.
Cette invasion a des conséquence néfaste pour l'avenir de notre jeunesse, néfaste sur les salaires, néfaste pour la qualité de vie,
147000 frontaliers c'est plus de 100000 voitures qui participent a la pollution et pèsent sur nos finances car il faut investir toujours plus sur nos infrastructures.
Genève doit rapidement y mettre fin et revenir a pas plus de 50000 frontaliers sans que cela touche l'économie car en effet toutes ces entreprises qui viennent s'installer a Genève ne le font que pour des raisons fiscale et n'engagent pas ou peu les locaux, combien de suisses dans ces entreprises américaines combien de suisses dans les organisations onusienne nous approchons le zéro.
Il y a 20 ans il n'y avait pas toutes ces entreprises et cela fonctionnait très bien et Genève n'avait pas de dette qu'il faudra bien rembourser et qui le fera les frontaliers!!!
Cette marée humaine ne sert a rien a part avoir ruiné la paix sociale.
les couts de la santé augmente sévèrement a Genève et ceci grâce aux frontaliers qui usent et abusent des prestations, en effet chez c'est un désert médical alors ils se soignent chez nous et pour un rien ils demandent des bons pour voir des spécialistes, un petit bobo de leurs enfants et hop un IRM sans compter les soins chez les masseurs, selon un spécialiste sans frontaliers il y aurait pour les genevois une baisse de prime d'environ 7% alors basta il y un ras le bol de ces profiteurs
RépondreSupprimerperte sur les salaires 22% en dix ans.
RépondreSupprimeren touchant le minimum syndical les faux frontaliers touchent 2,5 fois le smic,
le minimum serait de leurs interdire l'entrée da la ville en voiture et les obligés a utiliser les parkings hors de notre cité, payant au prix que doive payer les genevois pour l'utilisation des parkings, et si pas content......
RépondreSupprimeril y a mieux a faire....tous a la porte
RépondreSupprimerla civilisation des frontaliers a Genève personne n'en veut pas besoin des ces opportunistes
RépondreSupprimercher AI, c'est pas trop de frontaliers c'est une overdose, tous les mois ils augmentent et c'est pas les meilleurs, attirés par l'argent que la France est incapable de leurs offrirent
RépondreSupprimernous sommes submergés par l'afflux de ces frontaliers, des entreprises avec plus de 90% de frontaliers aucun pays n'a se triste record mais Genève oui, alors allons votés pour un véritable changement
RépondreSupprimerpascal meyrin