Bravo a nos élus il y a 147000 frontaliers et nos chômeurs et assistés ont augmentés, la situation est un désastre pour Genève et rien ne freine ce tsunami frontalier.
Les frontaliers sont en augmentation dans tous les secteurs même a l'état ou dans nos communes et ceci malgré les bonnes paroles de nos conseillés.
Ils arrivent en masse pour certain avec de faux diplômes et gangrène nos entreprises y compris dans le domaine médical ou la situation et jugée catastrophique, qui a pour effet de faire exploser les primes d'assurances
Le vote du 9 février a tout simplement été bafoué.
Sans réaction énergique pour limiter ces entrées et procéder a une grande vague de licenciement, Genève se dirige vers des émeutes car pour les genevois la situation c'est gravement dégradée en particulier sur les salaires qui ne permettent pas de vivre dignement vu la cherté des loyers, des assurances, et des produits de consommations.
Aux prochaines élection il faudra bien se poser les bonnes questions quand a l'avenir de Genève et de notre jeunesse et de ne plus écouter les belles promesses de politiciens tous pro-frontaliers
Votre AI
mais pourquoi quittent t'ils la France, certainement pour nos montagnes et l'amour qu'ils portent aux Suisses
RépondreSupprimerjean marie onex
lamentable cette invasion si au moins ils étaient bons mais c'est pas le cas, ou ils sont bons c'est dans le foutage de m.... et les intrigues des rapaces du style vautour, ces migrants doivent quitter la Suisse
RépondreSupprimerDaniel B
année 70 11000 frontaliers et 180 chômeurs, 0 a l'état
RépondreSupprimerannée 2018 147000 frontaliers 15000 chômeurs et plus de 20000 a l'assistance et 8000 a l'état
une décision rapide s'impose et cela passe par le vote, vu l'incapacité de nos élus
pour mieux comprendre écoutez ces maires frontaliers qui ne parlent que de Genève comme leur région, qui veut le grand Genève eux et qui osent critiquer le vote des genevois toujours eux, pour eux Genève c'est la France, nos politiciens doivent dire jamais
RépondreSupprimersavez vous que ces maires veulent des représentants dans notre parlement cette ingérence est intolérable mais bien dans l'esprit des français, gardons les véritables frontaliers qui peuvent prouver que cela fait des générations qu'ils habitent la zone frontalière, les autre c'est départ retour en France, ils n'y a pas de place chez pour eux
RépondreSupprimerVincent Nyon et merci cher AI