plus de 110000 frontaliers a Genève un record et c'est pas fini.
Plus de 45% de nos entreprises utilisent plus de 58% de frontaliers certaines avec plus de 90%.
Notre chômage est de 5,4% selon l'état mais il oublie volontairement les plus de 30000 assistés sociaux ( hospice ) ce triste résultat a des conséquences tragique sur nos finances et notre dette de plus de 20 milliards dépasse la dette française a la proportion.
Le financement de nos retraites ne sont plus assurés car cette masse de frontaliers 1500000 pour toute la Suisse, a la retraite ils quittent notre pays créant un énorme trou de part le simple fait que l'argent des retraites n'est plus en circulation.
Dans notre fonction publique genevoise et communale il y a plus de 8500 frontaliers du jamais vu alors qu'il y a des chômeurs pour tous ces poste le problème est que a des postes clef il y a des responsables frontaliers et le copinage fonctionne, jamais la France ne tolèrerait une t'elle situation.
Dans nos écoles ou centre de formations nous trouvons les enfants de ces frontaliers et ceci avec nos impôts car le frontalier ne paye pas les mêmes montants.
L'invasion sur nos routes par ces hordes frontalière génère une pollution et une pagaille sur nos routes et nos villages a la limite du supportable alors qu'il serait très simple de les obliger a venir avec nos transports laissant ainsi leurs voitures a la frontière, un jour proche nous allons devoir payer pour utiliser nos routes. ( il y a plus de 110000 voitures françaises ).
L'influence des frontaliers sur nos primes d'assurances et grande car ils se soignent dans nos hôpitaux normal vu le désert médical de notre voisin mais c'est aussi de grands consommateurs de nos prestations ( IRM, scaner, spécialistes ) sans compter le taux d'arrêt de travail pour pouvoir prolonger les vacances et ceci sur le dos des assurances et je ne parle pas de l'assurance invalidité ils savent en profiter.
Sans réaction dans moins de 10 ans Genève sera française!!!!! et il y aura plus de 200000 frontaliers sans compter tous les autres nations présente a Genève toute attirés par nos prestations.
bel article cher AI, mais vous ne parlez pas du dumping sur les salaires et de la concurrences des entreprises frontalières qui sévissent a Genève en toutes impunités
RépondreSupprimerRénald Tannay
cher Rénald, vous lisez dans mes pensées car la prochaine enquête c'est justement l'impact des frontaliers sur les salaires et le laxisme de notre état qui laisse des entreprises françaises travailler en Suisse sans vérifications
RépondreSupprimervotre AI
tout ceci ne peut que mal finir, ils sont trop nombreux, voir les commentaires anti-Genève de leurs édiles qui croient que Genève c'est la France, NON Genève c'est la SUISSE et vous êtes tolérés pas plus, si pas content.....
RépondreSupprimerVincent, Paul, Lucas et plus, merci AI
de tous les étrangers déclarés a Genève les pires sont les français qui se croient chez eux les plus gros profiteurs du système de véritable rapaces.
RépondreSupprimerqui déteste le pays nourricier car se n'est pas la France qui les faits vivre.
Jean Luc
en plus de leurs voitures nous avons leurs sacs d'ordures ceci afin de ne pas payer la taxe chez eux, pas de honte ces frontaliers des rats
RépondreSupprimer. Paul versoix
après mon cursus et divers diplômes je pensais pouvoir enseigner et bien non il n'y a pas de postes mais notre état engage des frontaliers merci a qui?
RépondreSupprimerChantal
chère Chantal c'est la honte de notre république qui ne cesse d'engager des frontaliers de 6000 ils sont passés a 7500 dans divers services et dans nos écoles ils sont plus de 35 un conseil écrivez a M. Poggia avec tous les éléments ou dans les journaux, le canton doit impérativement mettre fin a cette french-connection
RépondreSupprimervotre AI
les loups sont dans la bergerie avec la complicité de notre gouvernement et ces patrons voyous que faire bloquer nos routes tous les jours ou faire une énorme grève a la française et cesser de payer nos impots, nous devons faire partir plus de 20% de frontaliers nous sommes encore chez nous oui ou m....
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