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vendredi 2 juin 2017

chroniques frontalière

Dimanche par une belle journée un camping car pénètre dans une propriété privée sans rien demander il s'installe de façon bruyante dans le pure style camping, le propriétaire alerté par le bruit ose demander ce qu'ils font et là, avec un sans gène bien français ils répondent qu'ils font le plein d'eau vu qu'il y a un tuyau d'arrosage et que l'eau est gratuite.
Avant de partir ils ont copieusement insulté le propriétaire le traitant de raciste et après ils faudrait apprécier les français,
Petite conversation entre deux frontaliers, ta fille a commencé son stage oui répond t'il et ou a t'elle trouvé, en Suisse a Genève dans une grand magasin, et dire que de nombreux jeunes de chez nous n'arrivent pas a trouver une place mais chut !! il ne faut pas critiquer ils sont chez eux et notre état ne dit rien.
Mardi Versoix une entreprise connue de la place licencie deux employés helvétique et les remplacent par deux frontaliers du sud de la France moins couteux et personne ne dit rien cela devient normal.


votre AI toujours a l'écoute

3 commentaires:

  1. cher AI, je lis vos articles et commentaires tous les jours, il y a pire depuis qu'ils doivent payer leurs ordures ils les balancent dans nos champs, un français payer cela n'existe pas, luttons contre ces envahisseurs et donnons leurs une bonne leçon allons chier sur leurs villas payées avec l'argent de la honte.
    Sebastian et tout le village

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  2. incivilités, non respect de nos routes de villages, le sans gène du frontalier n'a plus de limite, leurs déchets jetés sur le bord des routes, occupations des places de parking, des revendications pour tirer des avantages, mauvaise ambiance dans nos entreprises, ces nouveaux conquérants se croient chez eux vu qu'ils n'aiment pas la Suisse pourquoi ne retournent-ils pas dans leur beau pays, je pense qu'ils n'aiment pas l'euro
    Paul Nyon

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  3. nos agriculteurs sont contents d'être pillés par ces gentils frontaliers, courges, fruits, salades, rien ne leurs résistent a croire qu'ils crèvent de faim, aucun respect un sans gène bref des malotrus
    Fredy Satigny

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