Depuis le début de l'année les licenciements sont en augmentation particulièrement pour les locaux, en effet les chiffres tombent c'est 104 Suisses licenciés dans 32 cas ils ont été remplacés par des frontaliers, dans trois entreprises le RH et un français dans une il a fait engager deux membres de sa famille.
Genève continu a délivrer des autorisations malgré les preuves accablantes de ces licenciements abusif.
Ce scandale généré par des entreprises qui devraient être sanctionnées sont-elles protégées par notre gouvernement qui laisse faire ou plutôt aux ordres des lobbys frontaliers.
Il n'y a qu'a lire les déclarations des édiles français quand nous prenons une décision favorisant les locaux c'est un tollé voir des insultes car ces régions frontalières ne vivent que sur le dos des genevois, plus de 300 millions leurs sera versé et ils ne sont toujours pas capable de fournir du travail a leurs ressortissants.
La pauvreté a Genève augmente a la même vitesse que l'augmentation de ces faux frontaliers.
Triste réalité et sans grande réaction de la population et de nos politiques cet aveuglement débouchera a coup sur avec une révolte.
AI Président
merci AI, force est de constater que la gangrène se propage a grande vitesse, il faudra couper nos relations avec cette France arrogante qui use et abuse de notre pays
RépondreSupprimerBernard surement un de ces licenciés
il y a 10 jours une nouvelle RH frontalière ( de Perpignan )a été engagée et déjà de rumeurs de licenciements, jeudi deux français en voiture avec plaque de la région de Perpignan était garée sur le parking que faire, notre syndicat dit d'attendre nous sommes certain que notre avenir n'est pas rose et que bientôt le nombre de frontaliers va augmenter ainsi que le chômage pour nous.
RépondreSupprimerRoberto et ces amis
cher AI, mais qu'ils partent nous sommes encore chez nous, pas en France le pays des assistés, engageons des frontaliers pour lever nos ordures, nettoyer nos rues qu'ils polluent, pour le reste ils sont incapables la preuve regarder leur pays un désert peuplé d'assistés
RépondreSupprimerVéritas de Prangin
une belle brochette de cons ces frouzes mais ils savent ou gagner leurs vies en SUISSE le pays qu'ils détestent mais qui paye leurs BMW et leurs villas car la France n'offre que des HLM et le smic, mais la France est grande ils sont les meilleurs oui mais dans la merde
RépondreSupprimerle clan
en réponse a Roberto, il se passe la même chose dans les banques privées, chez nous depuis l'arrivée de ces frontaliers nous avons depuis le début d'année 54 licenciements en petits paquets par groupe de ( 7 a 9 9) ainsi cela passe inaperçu et pas besoin de plan sociale, ces gens négocient 40% de moins que les genevois a savoir en moyenne 3800frs, impossible pour un genevois de vivre vu les loyers, nous avons avisés l'état de Genève a ce jour aucune réponse, oui notre état est complice de la France ou plutôt vendue a ce pays, a 54 ans je passe au chômage merci qui? une envie de révolution voir plus contre ces envahisseurs
RépondreSupprimerJean Pierre de chez H...
travaillant dans une boulangerie de la place j'ai été licenciée et remplacée par un gentil frontalier, je suis écoeurée par l'attitude des services de M. Poggia et de mon syndicat.
RépondreSupprimerLe genevois ne fait pas le poids face a cette invasion, sans mesures nous allons dans le mur. merci cher AI de parler de ce massacre de nos emplois.
Véronique
une plaie oui mais surtout une infamie doublée d'une irresponsabilité de tous nos politiciens en 1602 nous avions réglés le problème, nul doute que cela finira mal, déjà dans les entreprises la colère gronde et des pneus sont crevés...idiot mais cela peut se comprendre
RépondreSupprimerquand il y a gangrène il faut couper le membre infecté, quand il y a gros problème avec la loi sur le travail qui génère du chômage et de la précarité il faut oser trancher et prendre les mesures a savoir diminuer le nombre de frontaliers
RépondreSupprimerHubert chef d'atelier