Enfin il y a une diminution des frontaliers a Genève, environ 600 sont rentrés chez eux et autre bonne nouvelle il y a environ 600 chômeurs de moins dans notre canton.
Etrange moins de frontaliers moins de chômeurs, alors continuons il faut encore en renvoyer 30000 dans ce beau pays la FRANCE.
Cela démontre une chose c'est qu'il y a cause a effet, le surnombre de frontaliers est la cause de notre chômage même si les bons penseurs disent le contraire, un mensonge a la Hollande.
La priorité aux Genevois n'en déplaisent a tous ces maires français, la France ferait de même, d'ailleurs il n'y a pas de Genevois dans leur administration il n'y a que Genève a jouer ce jeu avec plus de 7000 français qui occupent des postes a responsabilités au détriment des locaux.
Bravo a tous mais restons vigilants la lutte ne fait que commencer et pensons a une ville avec 30000 frontaliers MAXIMUM soit 50000 voitures en moins.
Comme ils seront heureux de travailler pour leur pays au smic, cela pour redresser la grande France, des vrais patriotes ces frontaliers!!!
AI Président, la vérité toujours la vérité
pas de sentiment a faire avec cette race de frontaliers tous doivent quitter notre canton et la Suisse avec effet immédiat
RépondreSupprimerBastien du clan
le cancer Genevois éradiqué, pas contre des frontaliers mais 80000 bientôt 100000 NON et NON si nous voulons diminuer notre taux de chômage le plus important de Suisse nous devons abaisser les frontaliers a maximum 30000 quitte a se battre pour arriver a ce nombre
RépondreSupprimerClub 21
trop beau plus de frontaliers a Genève un rêve, mais voila la réalité ils vont continuer a sucer car la France est incapable de fournir une qualité de vie comme la Suisse et vu la fierté du français pas de honte.
RépondreSupprimerEn 1939 ils étaient tous allemand en 1981 tous socialiste un peuple de merde qui bouffe a tous les râteliers.
Dehors les frontaliers rentrés chez vous
Christian qui a ras le cul de ces frontaliers
mon œil cher AI, l'invasion n'a pas de fin ces bouffent m.... arrivent de toute la France pour sucer, la honte pas frouze, cette race n'a rien a faire a Genève.
RépondreSupprimer-Roger
ce cancer n'a pas de remède l'invasion continue, les chômeurs français débarquent des mesurent sont indispensables, une taxe sur le travail et sur leurs voitures doit être mise en place et si pas content qu'ils retournent chez eux
RépondreSupprimervéronique
de quoi de quoi, ils n'aiment plus Genève quelle peine.
RépondreSupprimerEnfin le début de la fin de cette invasion, Genève va respirer et de ne plus entendre leurs grandes gueules un délice.
André
mauvaise le chômage Genevois ne baisse pas a quand des décisions énergiques pour mettre fin aux licenciements de locaux au profit des frontaliers.
RépondreSupprimerPlus de 35000 Genevois souffrent de ce mal qui porte un nom les FRONTALIERS
Henry
reculer pour mieux revenir, n'oublions pas qu'ils sont chez eux a Genève avec la bénédiction de F. Longchamp
RépondreSupprimerRichard
que faire pour qu'ils comprennent de rester en France et cessent leurs invasions,
RépondreSupprimercher AI, j'aimerais croire a cette bonne nouvelle mais ces vautours ne céderons pas ils aiment trop le franc suisse.
RépondreSupprimerPour qu'ils quittent notre pays il faudra se battre en utilisant tous les moyens légaux, et dire m.... a l'Europe, nous sommes chez nous
--------------------------Etienne Genève-------------------------------
illusion ils sont trop rapaces pour partir, ils détestent les Suisses mais pas notre franc.
RépondreSupprimerUn peuple sans honte, sans gène, sans scrupule, des profiteurs, des parasites, OUI ILS DOIVENT PARTIR
André pour l'atelier 12
faux cher AI, car avec 60 millions de pauvres ces cons de frouzes vont continuer a arriver par horde entière.
RépondreSupprimerDebout citoyens les rats sont dans Genève
Cécillle
Très bonne nouvelle mes amis ce matin 4 frontaliers licenciés, peut-être le début de la fin.
RépondreSupprimerUn grand bravo a cette entreprise qui selon mes sources va engager 5 locaux.
Après le pain blanc ils vont manger le pain noir et s'inscrire a pole emploi, et retrouver leur beau pays
AI toujours a l'écoute
trop lentement aux gouts des genevois, leurs places c'est la France
RépondreSupprimerAlain