Avec 180000 chômeurs et 250000 pauvres la Suisse continue a laisser entrer des frontaliers cette politique va dans le mur et le risque de manifestations ce précise.
A ce jour il y a plus de 10000 infirmières sans travail et le paradoxe il y a plus de 6000 infirmières frontalières et toujours aucune réaction de nos politiciens.
A Genève l'état sans honte a engagé plus de 7000 frontaliers ( tpg, aeroport, sig, impot, contractuels, voirie, sans parler du secteur privé avec des entreprises ou il y a plus de 60% de frontaliers )
Il faut cesser de dire qu'il est impossible de trouver de la main d'œuvre locale c'est un mensonge.
Avec des salaires de plus de 6000fr a l'état bien des chômeurs seraient heureux, nos écoles sont réputées et forment des gens de qualité.
Le taux de frontaliers ne doit pas dépasser 25% de l'effectif d'une société il y va de l'avenir de tous.
Cette simple mesure n'est pas raciste, jamais la France n'aurait engagé des Suisses dans son administration.
En conclusion la Suisse n'a pas pour vocation d'engager tous les chômeurs de Monsieur François Hollande qui d'ailleurs ne se gène pas pour porter des attaques minable sur notre pays.
AI Président
P.S il y a plus de 130000 frontaliers compris les onusiens et l'invasion continue !!!
un énorme BRAVO cher AI, et vous minimisez la triste réalité ce surnombre de frontaliers génère de gros problèmes dans les entreprises et la population car ils occupent des postes ou ils peuvent décider de vie ou de mort sur les locaux.
RépondreSupprimerTous les jours il y a des licenciements de locaux pour placer les leurs se n'est plus une invasion mais le choléra ils arrivent de toute la France par centaine et ceci tous les jours.
Des bagarres ont lieux dans les entreprises car les locaux commence a
se révolter de l'arrogance de ces frontaliers.
A plus de 100000 ils sont bientôt plus nombreux que nous.
Nous devons réagir et vite pour mettre fin a l'invasion
Marcel employé
tribune de geneve ce matin, nous allons donner 300mio pour les frontaliers, en faite c'est de l'aide a un pays sous développé.
RépondreSupprimerNous ferions mieux de leurs demander de faire leurs valises et de rentrer dans leur magnifique pays.
Nous n'avons pas besoin de ces gens et de leurs arrogances.
Simon de Thal
faudra t-il des émeutes sanglantes pour que nos élus réagissent face a cette invasion frontalière.
RépondreSupprimerLe ras le bol se généralise a la même vitesse que notre chômage, chômage provoqué en grande partie par des licenciements de locaux au bénéfice de frontaliers (les frontaliers n'engagent que des frontaliers)
OUI cher AI les frontaliers a Genève c'est un cancer et pour le soigner un seul remède GO HOM les frontaliers
le clan
chômeur dans son propre pays et voir passer les voitures des frontaliers me fait gerber, si nous devons nous battre je suis prêt, cela ne peut plus durer, partager oui mais se faire virer par un frouze non surtout pour placer son copain
RépondreSupprimerBertrand
le soir en rentrant chez moi en Suisse je regarde sous le lit vu que dans mon jardin ils se servent!!!
RépondreSupprimera quand la fin des frontaliers afin de respirer
Ursula
nous devrions facturer les chômeurs Suisses qui ont été licenciés par des RH frontaliers puis licencier 5 frontaliers pour 1 chômeur Suisse.
RépondreSupprimerIl faudra bien un jour s'apercevoir que ces grandes gueules ne valent rien
Bastien de Versoix
de bleu de bleu il n'y a pas de travail en France mais que font-ils les meilleurs du monde a part envahir la Suisse.
RépondreSupprimerGiacomo
Monsieur Hollande gardez vos chômeurs nous les Suisses n'en voulons plus de vos faux frontaliers pour la grande partie des arrogants tricheurs.
RépondreSupprimerqu'ils travaillent pour relever la France et laissent en paix la Suisse.
A nous la Suisse d'inverser la courbe des frontaliers.
Sylvio
grande gueule le frontalier pas capable de bosser en France il faut les taxer, tu bosses en Suisse tu payes et ta voiture tu la laisses dans ton pays.
RépondreSupprimerSi pas content tu te tires dans ton beau pays.
Jérémie