Un grand bravo a nos politiques pour cette augmentation du chômage dans notre ville de Genève.
Un autre grand merci pour l'augmentation des frontaliers en septembre selon François Longchamp notre franco-genevois conseillé d'état il n'y a pas de causes a effets c'est a se poser la question de qui le paye.
AI Président propose une réunion a Monsieur Poggia et Monsieur Longchamp en compagnie des nouveaux chômeurs ils seront édifiés par le comportement de certaines entreprises genevoise qui misent sur les frontaliers pour satisfaire leurs cupidités.
Du courage Messieurs, AI attend votre rendez vous et les chômeurs aussi, basta la propagande des actes...
AI Président qui n'est pas dupe
Bravo AI, vous avez du cran cela ne peut plus durer ils sont trop nombreux il faut y mettre fin.
RépondreSupprimerGenève n'est pas fait pour recevoir tous les chômeurs d'un certain Hollande qui se dit Président.
Il est temps qu'ils rentrent chez eux l'invasion doit cesser.
Quand aux entreprises qui emploient plus de 25% de frontaliers une taxe devra être encaissée soit 1000frs par frontaliers pour financer nos chômeurs, bien souvent licenciés par des RH frontaliers
Bastien pour le clan
très bonne idée cher AI, ces cupides entreprises qui sous payent en engageant des frontaliers pour économiser doivent passer a la caisse en payant une taxe par frontalier et en cas de licenciement de locaux remplacés par un frontalier l'entreprise doit payer 1 an de salaire car l'état n'a pas a payer pour ces entreprises véreuses et il est certain que ce système fera baisser le nombre de frontaliers et de chômeurs.
RépondreSupprimerMonsieur Poggia doit prendre des mesures et cesser de parler
Jean Paul viré et remplacé par un gentil frontalier
la situation ne s'arrangera pas vu que de plus en plus les postes clef sont en mains des frontaliers super bien payés et pour compenser licencie du Suisse pour engager leurs copains a bas prix le tout avec la bénédiction des syndicats et du patronat.
RépondreSupprimerIl faudra bien un jour se battre contre l'envahisseur vu que les politiques ne réagissent pas.
les licenciés 15 G
entreprise de bureautique située dans l'arc lémanique 6 licenciements tous des locaux avec une moyenne de 15 ans d'entreprise.
RépondreSupprimerUn mois plus tard arrivée de 7 frontaliers venus de toute la France la faute a des petits chef français je n'ose y croire.... ils doivent être plus doués et mieux formés.
Quand a nous le club des six nous allons joyeusement pointer au chômage.
La haine du frontalier est grandissante avec raison
le club des six, merci pour votre site cher AI
il suffit d'écouter ces roitelets pour comprendre la haine qu'ils portent aux Suisses.
RépondreSupprimerJeudi a midi dans un restaurant proche de la gare quatre frontaliers montaient une stratégie pour évincer deux collaborateurs en mettant en place une véritable piège.
Espérons que le patron ne sera pas dupe de ces malfaisants.
Le frontalier une race bien a part qui ne mérite pas l'eau qu'il boit
Rénald de Carouge
selon un responsable syndicaliste les locaux subissent un véritable tsunami tant les frontaliers sont puissants et la baisse de salaire sur 10 ans et de 25% du fait du dumping.
RépondreSupprimerNe pas l'admettre c'est se suicider OUI IL Y A TROP DE FRONTALIERS et nous devons y mettre fin avant la grande colère justifiée des Genevois
Henry et Cie
Cher Henry,
Supprimervous avez parfaitement raison, en 1999 un technicien électricien était engagé après 4 ans de pratique avec un salaire de5000 frs 15 ans plus tard il est engagé avec un salaire de 4500 frs.
Soit une perte de 1500 frs sur plus de 10 ans.
Et si vous cherchez vous trouvez des salaires de moins de 4000 frs et ceci grâce aux faux frontaliers qui ainsi gagnent 2 a 3 fois le minimum français (smic)
Pour mettre fin a ce scandale il faut réintroduire la clause du besoin, faire payer les entreprises qui licencie des locaux pour engager des frontaliers minimum 2 ans de salaire, création d'une taxe sur les entreprises qui emploient plus de 25% de français.
25000 chômeurs, 35000 assistés voila le résultat de la folle politique du tout frontalier qui augmente tous les mois par le simple fait qu'il y a dans certaine entreprises plus de 90% de frontaliers et que les roitelets frontaliers n'engagent que les leurs.
REVEILLEZ VOUS LES GENEVOIS.
avec mes cordiales salutations
AI
je peux le confirmer AI pour avoir été licencié par un nouveau chef frontalier et remplacé par son voisin et ami.
SupprimerCette affaire ira au tribunal car j'ai déposé une plainte mais c'est bien dans la sale mentalité des français.
merci pour votre site le seul a l'écoute
Jean François Vernier ex, employé menuisier
nous sommes devenus les valets des frontaliers qui utilisent toutes les bassesses pour arriver a leurs fins a savoir placer les leurs.
RépondreSupprimerNous devons impérativement reprendre le control avant qu'il ne soit trop tard et pour cela il faut en diminuer le nombre par tous les moyens.
La priorité c'est le Genevois et non les chômeurs de toute la France.
Une taxe sur les frontaliers est devenue urgente afin d'inciter les entreprises d'engager local et de mettre fin aux licenciements des locaux.
STOP AUX ROITELETS FRONTALIERS et leurs arrogances, ils doivent comprendre qu'ils sont CHEZ NOUS et a bien plaire
Charles et ses amis
une chose est certaine Genève est atteinte par le virus mortel du frontalier sans réaction le savoir faire de la Suisse disparaitra au profit de l'amateurisme français pour en être convaincu il suffit de voir leur pays s'enfoncer par la faute d'un peuple d'assisté.
RépondreSupprimerLes dégâts irréversibles de ces roitelets sur notre économie se fait sentir les 30000 chômeurs locaux en sont l'exemple et la situation ne fait que de s'aggraver, le danger frontalier est dans nos murs
Xavier employé de banque
lundi 13 octobre nous serons 3 employés a quitter l'entreprise après 18 ans nous avons été licenciés sans raisons si se n'est de couter plus cher par rapport aux nouveaux frontaliers.
RépondreSupprimerA midi nous serons 3 de plus a détester les frontaliers et leurs dumping.
Un grand merci a nos politiciens et notre patron et a notre syndicat.
sans oublier Hollande et ces chômeurs.
les 3 GRP
après 18 mois de chômage suite a un licenciement par un RH italien (il n y a pas de RH en Suisse) je décroche enfin un r.d.v après avoir posté plus de 500 C.V la responsable m'annonce que nous sommes 187 postulants mais mon profil correspond parfaitement 15 jours plus tard je suis convoqué pour un second entretien et la RH m'annonce que nous ne sommes plus que deux.
RépondreSupprimerQuinze jours après déception c'est l'autre qui a été engagé.
Après petite enquête la personne engagée et française (Paris !!!) mais surprise c'est la cousine de la RH .......
Moralité: dur, dur d'être SUISSE a Genève la capital du 01 et 74
Batista juriste
force est de constater que Genève est dirigée par les frontaliers qui font la loi.
RépondreSupprimerDans pas longtemps comme chez eux nous aurons droit aux gréves, aux revendications, et a coup sur il ruineront nos entreprises comme chez eux.
Déjà la qualité a baissé et les clients le voient, la seule qu'ils savent faire c'est se vendre, leurs opportunismes cachent leurs incompétences et point de vue magouille c'est les champions.
Pas un jour sans qu'ils ne rentrent chez eux avec des petites bricoles glanées ça et la, le système D une invention française et l'incivilité une institution.
La seule solution un charter et rendre tous ces frontaliers a Hollande qui se fera un plaisir de trouver du travail pour eux et Genève sera libérée
Le club des FLG
ils doivent se reproduire c'est pas possible autrement
RépondreSupprimerJosé
près de 40000 assistés a Genève, merci qui ? merci Mauro Poggia.
RépondreSupprimerAux prochaines élections nous serons nombreux a penser a vous
les amis du 33
et si nous faisions comme les corses, boum !!!
RépondreSupprimerJulien
remettons l'église au centre du village et renvoyons chez eux tous les frontaliers cela fera 280000 chômeurs de plus pour le grand Hollande.
RépondreSupprimerBannissons de la Suisse tous les produits français qui ne valent rien et laissons ce pays dans sa m....
Fulvio Tessin merci AI