Comme pour les minarets nous devrions faire un référendum sur la question du nombre de frontaliers (bientot 100000)
Tous les Genevois ont le droit de décider de leurs avenir ,cet exode de français dans notre canton ne peut plus continuer Genève ne doit pas se transformer en eldorado pour les frontaliers car il y a trop de chomeurs particulièrement chez les jeunes et les 50 ans et plus.
Les rumeurs de départ de grosses entreprises courtisées par d'autres pays ne fera que augmenter la précarité c'est pourquoi nous devons décider du nombre de frontaliers et le bloquer a 50000 pas plus ce qui aura pour conséquence une augmentations des salaires,une diminution du trafic pendulaire (plus de 100000 voitures) ceci ne fera pas plaisir a Michel Charrat (chef des frontaliers) mais l'avenir est a ce prix.
AI Président
Tous les Genevois ont le droit de décider de leurs avenir ,cet exode de français dans notre canton ne peut plus continuer Genève ne doit pas se transformer en eldorado pour les frontaliers car il y a trop de chomeurs particulièrement chez les jeunes et les 50 ans et plus.
Les rumeurs de départ de grosses entreprises courtisées par d'autres pays ne fera que augmenter la précarité c'est pourquoi nous devons décider du nombre de frontaliers et le bloquer a 50000 pas plus ce qui aura pour conséquence une augmentations des salaires,une diminution du trafic pendulaire (plus de 100000 voitures) ceci ne fera pas plaisir a Michel Charrat (chef des frontaliers) mais l'avenir est a ce prix.
AI Président
Genève a perdu les pédales bientot 100000 frontaliers,des emplois a l'état,300mio de ristourne fiscale,des milions pour leurs infrastructures,la grande agglo,le ceva et cerise sur le gateau ils nous traitent d'état voyou.
RépondreSupprimerLa cohabitation n'est plus possible dans ces conditions alors OUI a un référendum et cela ils doivent le comprendre ils feraient la meme chose
Roger Avusy
faisons comme les français changeons les règles
RépondreSupprimerplus de ristourne fiscale,plus de voitures française en ville sans vignette,plus d'achat dans les magasins,plus de Suisses habitant en France,diminution des frontaliers a 40000,plus de grande agglo ainsi ces régions retournerons comme a l'origine dans la misère.
Nous n'avons pas vocation a aider ce peuple de prétentieux qui n'aime que l'argent de la Suisse
le club
souvenenez vous de Schwarzenbach faisons la meme chose donnons 15 jours aux frontaliers pour sortir de la Suisse,comme ils seront heureux de travailler dans leur pays et de ne plus voir les Suisses qu'ils n'aiment pas,adieux belles villas,belles voitures et les vacances dans les iles se sera bonjour le camping
RépondreSupprimerles ronchons Genève P.S merci AI
ce jeudi 12 septembre notre patron nous demandent de baisser nos salaires de 10% ou de faire comme les frontaliers a savoir travailler au tarif syndical (ce qui représente 3 fois le smic)
RépondreSupprimerHabitant tous Genève c'est totalement impossible,je crains des licenciements et le remplacement par d'autres frontaliers,oui a un référendum cela devient invivable, ce dumping frontalier un désastre pour tous les genevois et se faire narguer par ces gens est insuportable.
Ceci n'est pas un blabla de politicien mais la réalité sur les chantiers, et tous les jours arrivent des nouveaux français avec des salaires toujours plus bas.
Jean et ces collègues
pas un référendum cher AI mais mais un arret des importations des chomeurs de france.
RépondreSupprimerMeme le syndicat des frontaliers admet qu'il y a trop frontaliers
Pascal Carouge et Luc Nyon
arretons le massacre de nos finances nous sommes endettés a hauteur de 35000fr par habitants.
RépondreSupprimerQue fait notre état,il donne 250mio de ristourne fiscale
il donne en plus 25mio pendant 10 ans
il donne 3,5mio pour des parking
Ces régions frontalières vivent a nos crochets et en veulent encore plus il suffit d'écouter tous ces maires.
Nous devons mettre fin a l'entretien de cette france arrogante et ruinée
Christophe versoix
redonnons les appartements occupés par des français a Genève, ainsi tous les genevois vivants dans la région frontalière auront la possibilité de revivre dans leur canton Genève.
RépondreSupprimerAinsi plus de critiques de la part française sur envahissement des genevois et pour le contribuable genevois plus d'argent a verser aux maires frontaliers le bénéfice pour Genève plus de 300mio par années.
Anatole chambesy
la premiere chose a faire imposer un seul membre par famille et non comme aujourd'hui des clans qui trust toutes les places.
RépondreSupprimeret si la france n'est pas contente il y a pour eux la possibilité de travailler chez eux
Dominique
en 10 ans les frontaliers ont doublés et le chomage aussi étrange, dans ans ils seront plus de 100000 soit environ 30% de la population
RépondreSupprimerContinuons nous finirons tous français ou allons voter pour mettre fin a cette invasion
Norbert
remplaçons tous les frontaliers par des résidents et faisons travaillés tous nos chomeurs
RépondreSupprimerune honte cette politique du tout frontalier sous pretexte de (pas trouvé chez nous)
Mettons tous nos députés au chomage et remplaçons les par des frontaliers pour voir leurs réactions
Bertine
pourquoi un référendum nous sommes chez nous et les frontaliers sont tolérés et si ils n'aiment pas Genève ils peuvent poser leurs candidatures a pole emploi pour voir la différence
RépondreSupprimerClaude
la logique c'est pas plus de 10% de la population genevoise mais pour nos politiques aveugles et sourds c'est 100000 frontaliers pour faire plaisir au patronat le grand Genève oblige,vive la grande agglo franco française les genevois aux zoo
RépondreSupprimerMartin,Luc,Etienne et tous les autres
Pas de référendum mais des expulsions avant les 100000 profiteurs dans notre ville,que Charrat trouve une idée chez lui en france pour occuper ces ressortissants avec pres de 300mio par années c'est fastoche pour un génie comme lui
RépondreSupprimerBernard qui ras le bol du frontalier Soral