diminution des frontaliers indispensable mais aussi mettre fin aux places d'apprentissages des jeunes français alors que nos propres jeunes peinent a trouver des entreprises formatrices, encore un scandale qui avantage nos amis frontaliers. Faudra t-il envoyer nos jeunes en France. pour mettre fin a cette situation n'oublions d'aller voter avec un grand balai
ENFIN le debut de la fin des frontaliers,bientot fini leurs arrogances,fini les roitelets de Savoie ou de l'ain,le debut de la faim pour eux ils critiquerons depuis chez eux Genève libérée enfin du joug frontalier,fini les 300mio pour ces maires prétentieux et pour moi fini de rever le réveil a sonné il est 5 heures ils arrivent
un chiffre Genève c'est 15000 chomeurs un chiffre Genève c'est 85000 frontaliers que faire, la réponse est simple il y a trop de ..... mais silence il ne faut rien dire ne fachons pas nos voisins ils sont chez eux la faute a qui,a nos patrons,aux syndicats,aux politiques qui veulent du frontalier pour faire la grande agglo. Le résultat une baisse des salaires,du chomage,et une dette pour le contribuable genevois,joilie visión pour notre avenir Mais tout a une fin et les élections un moyen de remettre le temple au centre du village. Genève pour les Genevois doit etre notre devise
Apres le paradis versión Hollande,l'enfer pour les frontaliers versión genevoise amis frontaliers ditent merci a vos dirigeants et leurs critiques sur la Suisse nourricière de vos familles
enfin du réalisme le tout frontalier est une hérésie et le grand Genève une imbécilité de nos politiques. Des frontaliers oui mais des vrais et seulement 30000 Genève doit resté aux genevois
QUOI !!! le rève cher AI , vite revenez pour la suite
RépondreSupprimerles amis D'AI
enfin du réalisme dans la politique genevoise le tout frontaliers comme Capri , c'est fini.
RépondreSupprimerclara nyon
diminution des frontaliers indispensable mais aussi mettre fin aux places d'apprentissages des jeunes français alors que nos propres jeunes peinent a trouver des entreprises formatrices, encore un scandale qui avantage nos amis frontaliers.
RépondreSupprimerFaudra t-il envoyer nos jeunes en France.
pour mettre fin a cette situation n'oublions d'aller voter avec un grand balai
Hubert qui cherche pour son fils une place
ENFIN le debut de la fin des frontaliers,bientot fini leurs arrogances,fini les roitelets de Savoie ou de l'ain,le debut de la faim pour eux ils critiquerons depuis chez eux
RépondreSupprimerGenève libérée enfin du joug frontalier,fini les 300mio pour ces maires prétentieux
et pour moi fini de rever le réveil a sonné il est 5 heures ils arrivent
Lucien
un chiffre Genève c'est 15000 chomeurs
RépondreSupprimerun chiffre Genève c'est 85000 frontaliers
que faire, la réponse est simple il y a trop de .....
mais silence il ne faut rien dire ne fachons pas nos voisins ils sont chez eux
la faute a qui,a nos patrons,aux syndicats,aux politiques qui veulent du frontalier pour faire la grande agglo.
Le résultat une baisse des salaires,du chomage,et une dette pour le contribuable genevois,joilie visión pour notre avenir
Mais tout a une fin et les élections un moyen de remettre le temple au centre du village.
Genève pour les Genevois doit etre notre devise
le groupe
Apres le paradis versión Hollande,l'enfer pour les frontaliers versión genevoise
RépondreSupprimeramis frontaliers ditent merci a vos dirigeants et leurs critiques sur la Suisse nourricière de vos familles
Germain Grand-Saconnex
enfin du réalisme le tout frontalier est une hérésie et le grand Genève une imbécilité de nos politiques.
RépondreSupprimerDes frontaliers oui mais des vrais et seulement 30000 Genève doit resté aux genevois
Dominique choulex
Comme le dit Hollande le jaloux (un paradis la Suisse)mais sans frontaliers c'est encore mieux
RépondreSupprimerVéronique