Histoire vraie d'une réputée entreprise Genevoise qui a engagé comme directeur un frontalier il y a 6 mois
Dès sa prise de pouvoir sa gestion a consister par manque de connaissance du tissu économique Suisse et particulierement Genevois a prendre des décisions hasardeuses
particulierement avec les collaborateurs Suisses sa façon hautaine en s'exprimant,sa remise en question du savoir faire de l'entreprise (tres protectrice avec les employés)
a commencer a créer des tensions car sa méthode qui consiste a diviser pour régner
a comme conséquence le départ d'anciens collaborateurs ne pouvant plus travailler dans cette ambiance
La crise économique a obligé l'entreprise a licencier une quinzaine d'employes et ce directeur frontalier opte pour le départ de douze Suisses!!! et de trois frontaliers!!!
Aujourd'hui l'entreprise va au plus mal car les choix commerciaux sont une véritable catastrophe
Mes questions: pourquoi engager un Français qui ne connait rien a la Suisse
a l'époque le P.D.G déclarait il n'y a pas en Suisse un tel homme
pourquoi chaque fois qu'un français ce trouve a un poste de cadre
ce sont des Suisses qui trinquent
combien de frontaliers a des postes de directions travaillent a l'état
favorisant l'engagement de Français (7000 frontaliers a l'état)
ce n'est pas une utopie mais la triste réalité
Tous les Genevois doivent savoir que cette politique du tout Français portera un préjudice
pour l'avenir de nos emplois et de notre jeunesse qui aujourd'hui ne trouve pas de place d'apprentissages
Le dumping sur les salaires a fait perdre 15% de pouvoir d'achat aux salariés Genevois car un frontalier négocie a la baisse
face a cette situation le Genevois n'a aucune chance
Aux prochaine élections votons pour des politiciens (droite ou gauche) qui pense a Genève et aux Genevois avant de faire la grande agglo des mythomanes
AI Président
Dès sa prise de pouvoir sa gestion a consister par manque de connaissance du tissu économique Suisse et particulierement Genevois a prendre des décisions hasardeuses
particulierement avec les collaborateurs Suisses sa façon hautaine en s'exprimant,sa remise en question du savoir faire de l'entreprise (tres protectrice avec les employés)
a commencer a créer des tensions car sa méthode qui consiste a diviser pour régner
a comme conséquence le départ d'anciens collaborateurs ne pouvant plus travailler dans cette ambiance
La crise économique a obligé l'entreprise a licencier une quinzaine d'employes et ce directeur frontalier opte pour le départ de douze Suisses!!! et de trois frontaliers!!!
Aujourd'hui l'entreprise va au plus mal car les choix commerciaux sont une véritable catastrophe
Mes questions: pourquoi engager un Français qui ne connait rien a la Suisse
a l'époque le P.D.G déclarait il n'y a pas en Suisse un tel homme
pourquoi chaque fois qu'un français ce trouve a un poste de cadre
ce sont des Suisses qui trinquent
combien de frontaliers a des postes de directions travaillent a l'état
favorisant l'engagement de Français (7000 frontaliers a l'état)
ce n'est pas une utopie mais la triste réalité
Tous les Genevois doivent savoir que cette politique du tout Français portera un préjudice
pour l'avenir de nos emplois et de notre jeunesse qui aujourd'hui ne trouve pas de place d'apprentissages
Le dumping sur les salaires a fait perdre 15% de pouvoir d'achat aux salariés Genevois car un frontalier négocie a la baisse
face a cette situation le Genevois n'a aucune chance
Aux prochaine élections votons pour des politiciens (droite ou gauche) qui pense a Genève et aux Genevois avant de faire la grande agglo des mythomanes
AI Président
cher AI,si c'est l'entreprise que je pense la situation est tres grave cet homme (frontalier)
RépondreSupprimerpar ces boniments a embobiné la direction faisant miroiter des chateaux en espagne
a ce jour c'est la seconde vague de licenciement
avec beaucoup de Suisses
nous perdons des clients de longues dates
un climat délétère règne au sein de l'entreprise
notre espoir le reveil de la direction et la venue d'un directeur Suisse connaissant le marcher Suisse c'est impératif dans notre domaine
cette triste histoire reflète la réalitè genevoise
RépondreSupprimeret le grand silence de tous nos politiques surtout ne pas véxer les frontaliers
si le patronat engage des frontalier c'est simplement qu'ils négocient a la baisse ce que ne peut pas faire un résident genevois le cout de la vie pour lui est le double
un français en france gagne le smic (1600euros)ils sont 50% dans cette situation
De plus avec les années certains sont devenus des petits chefs et préferent engager ou favoriser leurs compatriotes
qui bien souvent sont des amis
tot ou tard nous serons minoritaires et devrons subir leurs dicta et le partonat genevois subira les fameuses grèves si réputées en Hollandie
des travailleurs qui subissent les frontaliers