La menace pour tous les Genevois c'est un jour ou l'autre de perdre son travail et de se faire remplacer par un frontalier.
Avec notre politique du tout frontalier ils sont partout et a des postes de roitelet qui ont droit de vie ou de mort au sein des entreprises.
Tous les jours des têtes tombent car leurs tactiques est de licencier pour mieux placer les leurs et sans réactions des syndicats et des politiques.
Tous ces licenciés se retrouvent au chômage et pour retrouver un boulot ils devront affronter la déloyale concurrence des français venus de toutes les régions ou il pouvaient espérer au mieux un salaire de 1200 euros en arrivant a Genève ils gagneront au minimum 4000frs (belle augmentation)
Ainsi un cadre avec 10 ans d'entreprise qui avait un salaire de 90000 a 120000frs ne retrouvera aucun emploi a plus de 60000 a 70000frs et encore si il le trouve.
Sa vie sera ruinée et perdra tout ce qu'il a construit durant sa carrière et ceci grâce a tous ces faux frontaliers mais de véritable parasites.
Ce cancer qui ronge notre société a un nom LES FRONTALIERS c'est pourquoi nous devons en urgence prendre des décisions a l'encontre de ces roitelets qui pullulent dans les entreprises ainsi que les irresponsables PDG qui agissent par cupidités.
La mesure est simple, tout licenciement doit être annoncé a un office de l'état afin de vérifier les causes et ensuite après un délais de 3 mois de contrôler l'entreprise afin de voir par qui le poste a été remplacé, dans le cas d'une baisse de salaire ou d'un engagement d'un frontalier l'entreprise devra assumer 2 ans de salaire a l'ex employé car se n'est pas a la collectivité d'assumer, ensuite les caisse chômage prendront le relais.
Cette méthode simple et légale permettre de mettre fin a ce scandale et a l'augmentation du chômage a Genève.
Et je tire l'attention a tous les chefs d'entreprises la politique du tout frontalier se retournera un jour contre vous car il n'y a qu'a regarder en France comment cela se passe vous serez les otages de vos employés frontaliers.
Disons stop aux entreprises qui ont un taux de plus 60% de frontaliers et elles sont nombreuses.
Et n'oublions jamais que les clients de vos entreprises sont les locaux pas les frontaliers car eux ne dépensent pas un tune a Genève.
AI Président
Avec notre politique du tout frontalier ils sont partout et a des postes de roitelet qui ont droit de vie ou de mort au sein des entreprises.
Tous les jours des têtes tombent car leurs tactiques est de licencier pour mieux placer les leurs et sans réactions des syndicats et des politiques.
Tous ces licenciés se retrouvent au chômage et pour retrouver un boulot ils devront affronter la déloyale concurrence des français venus de toutes les régions ou il pouvaient espérer au mieux un salaire de 1200 euros en arrivant a Genève ils gagneront au minimum 4000frs (belle augmentation)
Ainsi un cadre avec 10 ans d'entreprise qui avait un salaire de 90000 a 120000frs ne retrouvera aucun emploi a plus de 60000 a 70000frs et encore si il le trouve.
Sa vie sera ruinée et perdra tout ce qu'il a construit durant sa carrière et ceci grâce a tous ces faux frontaliers mais de véritable parasites.
Ce cancer qui ronge notre société a un nom LES FRONTALIERS c'est pourquoi nous devons en urgence prendre des décisions a l'encontre de ces roitelets qui pullulent dans les entreprises ainsi que les irresponsables PDG qui agissent par cupidités.
La mesure est simple, tout licenciement doit être annoncé a un office de l'état afin de vérifier les causes et ensuite après un délais de 3 mois de contrôler l'entreprise afin de voir par qui le poste a été remplacé, dans le cas d'une baisse de salaire ou d'un engagement d'un frontalier l'entreprise devra assumer 2 ans de salaire a l'ex employé car se n'est pas a la collectivité d'assumer, ensuite les caisse chômage prendront le relais.
Cette méthode simple et légale permettre de mettre fin a ce scandale et a l'augmentation du chômage a Genève.
Et je tire l'attention a tous les chefs d'entreprises la politique du tout frontalier se retournera un jour contre vous car il n'y a qu'a regarder en France comment cela se passe vous serez les otages de vos employés frontaliers.
Disons stop aux entreprises qui ont un taux de plus 60% de frontaliers et elles sont nombreuses.
Et n'oublions jamais que les clients de vos entreprises sont les locaux pas les frontaliers car eux ne dépensent pas un tune a Genève.
AI Président